En hommage à l’auteur Luis Sepulveda, décédé le 16 avril 2020 des suites d’une infection au Covid 19, je « reblogue » cet article que j’avais publié sur ce blog en novembre 2016 au sujet de son oeuvre phare « Le vieux qui lisait les romans d’amour »
« Le vieux qui lisait des romans d’amour »
de Luis Sepúlveda
1992, traduit de l’espagnol par François Maspero
Editions Metailié (140 pages), Editions Seuil (120 pages) ou Audiolib
Mon souci avec ce beau roman bienfaisant – qui a par ailleurs remporté succès commercial et prix littéraires et a été adapté au cinéma en 2001 – est de le placer dans une catégorie spécifique de mon blog de bibliothérapie.
Le titre évoque le thème de la vieillesse, mais avec un côté surprenant et rassurant. Le héros, Antonio José Bolivar Proano, est un homme plutôt âgé. Etant donné qu’il connaît la forêt amazonienne comme sa poche, on lui demande de retrouver le coupable (homme ou animal) qui a assassiné un chasseur blanc. L’énergie et l’intelligence déployées par cet homme d’expérience sont admirables. Chapeau pour le troisième âge !
Le thème de l’injustice est également abordé dans ce roman, parce que les anti-héros…
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