Cette nouvelle section présentera des romans dont l’histoire m’a semblé dure, choquante et au terme de laquelle, je me suis dit : « Et bien finalement, tu n’as pas à te plaindre en comparaison du triste sort des protagonistes » ou encore « Profite de la vie, de ce qu’elle t’a donné en qualités, en amitié, en amour, car toi au moins tu disposes de quelque chose que le malheureux protagoniste du roman n’avait pas sous la main….  »

Et pourtant, dans ces récits, bien que le sort se soit acharné sur l’un ou l’autre personnage, lui-même ou d’autres en sont ressortis si pas vainqueurs, du moins plus forts, plus aptes à appréhender les prochains coups du destin.

Voici donc des récits qui permettent de relativiser sa propre existence au regard de celles que l’on peut franchement considérer comme pires. Si vous n’êtes pas trop sensibles, n’hésitez pas à les lire.

Valentine Goby « Kinderzimmer »

George Orwell « 1984 »

Pierre Lemaitre « Au revoir là-haut »

Primo Levi « Si c’est un homme »

Véronique Olmi « Bakhita »

Julien Delmaire « Frère des astres »

Myriam Rawick « Le journal de Myriam »

Margaret Atwood « La Servante écarlate »

Colombe Schneck « La réparation »

L’humour et les accents décalés en littérature

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